Aux Puces, mes meilleures adresses
Donc, j'étais voici peu à Paris, et j'ai passé une partie de dimanche aux Puces, après, évidemment, un café dans un café...
Sauf que 8h45, c'est une heure indue à Paris, que croissants et pain n'étaient pas livrés, ni aucune boulangerie ouverte, et qu'il m'a fallu deux fois aller au comptoir pour le demander, le café, puis une troisième pour aller le chercher, et qu'ils m'ont fait payer le supplément "service en salle", néanmoins. L'amabilité? Si on parlait d'autre chose! Alors, typique, le café, intéressante, la conjonction des chaises avec derrière les merveilles Art Nouveau des bouches de métro créées par Guimard, mais ils ne me reverront pas.
Deuxième ombre de la journée : ma boutique chouchoute des Puces a fermé... Les boutons, les perles, les coquillages étaient passionnants, heureusement que j'en ai profité durant des années et que j'ai encore des stocks! Et la lumière... à Vernaison, je tombe sur un bazar que je ne connaissais pas encore, des perles intéressantes ma foi, pour commencer la journée... et puis l'ancienne maison Jacques qui ouvre enfin, mais si, tout près de l'entrée principale de Vernaison, un stock impressionnant, des prix qui n'augmentent pas, des "nouveautés" - c'est de l'ancien - qui apparaissent encore! Avant, c'était un couple âgé qui tenait le stand, désormais c'est leur nièce qui a repris le flambeau, et elle est vraiment très sympathique. Un bonheur!
Le gobelet à seize euros toujours, le bonheur de mettre les mains dans toutes ces perles, de les entendre crisser, sonner, tinter, promettre! La preuve ?
Le Paradis existe, marché Vernaison, Puces de Saint-Ouen!